samedi 25 février 2017

Les édelweiss de l'espérance

Un jour, en Macronie, une pluie d'édelweiss nimba la vallée d'un voile velouté et nacré.
Sous les sabots des chèvres, les fleurs s'étaient détachées des rochers pour apporter aux âmes égarées le signe de l'espérance.
Le chantre des Hautes Pyrénées, jadis connu sous le nom de renard béarnais vint apporter sa caution sous forme d'alliance à l'homme jeune et dynamique qui pouvait porter le projet d'une France éternelle, de Jeanne d' Arc au Général de Gaulle, sans plier, comme le roseau de la fable.
L'arc des sourcils en forme de triangle victorieux en disait long sur sa détermination à réaliser une loi fiable et incontournable.
L’écœurement des citoyens était à son paroxysme après les révélations du Pénélopegate et autres dossiers sulfureux.
Décidés à rendre à la France son honneur, les deux hommes qui avaient pour point commun des attaches béarnaises se faisaient fort d'éradiquer la tourbe provinciale, balzacienne, installée au cœur de la capitale.
L'or des coffres brillait et se cachait au sein de savants montages qui avaient nécessité des trésors d'ingéniosité au détriment d'actions bénéfiques pour le bien de tous.
C'est ainsi qu'auréolé des fleurs de l'espérance et du soutien d' hommes et de femmes de valeur, le jeune Emmanuel, au prénom prédestiné, entreprit une campagne qui le conduirait à une victoire possible et souhaitée pour que la France revive enfin dans toute sa beauté.

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